Posons-nous les bonnes questions.
La fuite de quelques ahuris justifie-t-elle le coltinage des sections de plans ? (j'ai eu une journée fatiguante, vous supporterez donc qu'aujourd'hui j'écrive comme une handicapée de la syntaxe. ) As-tu vraiment envie de te retrouver avec tous les cracks en maths pour te sentir très naze ? La génétique ne vaut-elle pas le coup de rater le PPCM et les similitudes ? Six heures hebdomadaires avec Mme Prof-de-Maths-Génialissime ne sont-elles pas suffisantes ? (Que fous-tu en S ?) Huit semaines de "variations climatiques depuis 700000 ans" justifient-elles un suicide ? Qui déçois-tu en allant en maths ? En restant en bio ? Monsieur M. n'est-il pas mignon ? N'est-il pas terriblement cool (une fois qu'on s'est coltiné sa douce épouse pendant deux ans) ? Peux-tu encore repiquer en L/ES ? Aimes-tu les mathématiques ? L'analyse de la tourbe te passionne-t-elle vraiment ? Que te restera-t-il du théorème de Fermat d'ici deux semaines ? Du "delta-o-dix-huit" ? Si tu n'arrives pas à faire un choix aussi peu important, comment peux-tu être à peu près rassurée pour ce qu'ils appellent ton orientation post-bac ?